Historique
Le compagnon
La symbolique et les rites
Historique
Les Origines
L'origine du Compagnonnage prend naissance dans la genèse de l'histoire du Temple Salomon.
Salomon, roi d'Israël devait pour mission bâtir un Temple à la gloire de Yahvé (Dieu en Hébreu). IL ne disposait pas d'ouvriers qualifiés pour ériger ce Temple de pierre. Il fit donc appel à son voisin et allié Hiram, roi de Tyr qui lui loua les services de tailleurs de pierre et de charpentiers. Les pierres et les pièces de bois, une fois préparées furent amenées sur l'emplacement du temple pour y être assemblées.
"On n'entendit ni marteaux, ni pics, ni outils de fer dans le Temple pendant sa construction" (Rois 1, 6,7).
A cette époque, les plans n'existaient pas. Le Maitre d'œuvre seul avait la vision du Plan et l'exprimait par des nombres.
Le temple de Salomon avait 60 coudées de long ,20 de large et 30 de haut.
Pour la première fois, il nous est permis de connaitre l'organisation du métier de bâtisseur. C'est la symbolique des nombres qui constituent la clef pour la lecture de la construction des temples de pierre. A l'aide de ce tracé directeur, le Maitre d'œuvre concevait le temple, les outils étaient la règle et le cordeau. Le constructeur du Temple était le lien entre l'homme et Dieu.
L'enseignement initiatique des compagnons trouve sa base sur cette symbolique et ce tracé.
Les templiers
La naissance des Ordres monastiques aux alentours du 4ème siècle, fut le point de départ d'une organisation spirituelle et matérielle regroupant différentes corporations de métiers d'artistes amorçant ce qui sera par la suite le Compagnonnage.
Les monastères sont organisés comme suit:
- Les moines religieux qui ont prononcé leurs vœux selon les règles de l'ordre.
- Les frères servants ou convers, religieux non moines qui assuraient les travaux pratiques.
- Les Laïcs, ni moines ni frères qui séjournaient dans les monastères comme artistes travaillants sous leur protection.
Après l'an 1000, les moines développèrent sous l'influence de St Bernard (Fondateur de l'abbaye de Cîteaux) des études en architecture et géométrie et un nouvel ordre fut fondé nommé le "Saint Devoir de Dieu" qui comprenait des charpentiers, des carriers et des tailleurs de pierre.
A la deuxième croisade lancée par saint Bernard, parmi les chevaliers et les moines se trouvaient des ouvriers du " Saint Devoir de Dieu" enrôlés au rang d'écuyers. On les appela dans un premier temps les "Dévoirants" puis devint plus tardivement "Compagnons du Devoir".
Les Templiers, moines soldats ayant adopté la règle de Saint augustin imposèrent à ces compagnons une règle comprenant des engagements et une soumission aux enseignements des évangiles. Cette règle pour ces bâtisseurs perdurera au fil des siècles.
Après l'échec de la deuxième croisade en 1148, des charpentiers et tailleurs de pierre furent autorisés à rester dans les commanderies installées au Moyen-Orient. Ceci leur permit d'échanger leurs connaissances avec l'architecture d'Orient.
Les Origines
L'origine du Compagnonnage prend naissance dans la genèse de l'histoire du Temple Salomon.
Salomon, roi d'Israël devait pour mission bâtir un Temple à la gloire de Yahvé (Dieu en Hébreu). IL ne disposait pas d'ouvriers qualifiés pour ériger ce Temple de pierre. Il fit donc appel à son voisin et allié Hiram, roi de Tyr qui lui loua les services de tailleurs de pierre et de charpentiers. Les pierres et les pièces de bois, une fois préparées furent amenées sur l'emplacement du temple pour y être assemblées.
"On n'entendit ni marteaux, ni pics, ni outils de fer dans le Temple pendant sa construction" (Rois 1, 6,7).
A cette époque, les plans n'existaient pas. Le Maitre d'œuvre seul avait la vision du Plan et l'exprimait par des nombres.
Le temple de Salomon avait 60 coudées de long ,20 de large et 30 de haut.
Pour la première fois, il nous est permis de connaitre l'organisation du métier de bâtisseur. C'est la symbolique des nombres qui constituent la clef pour la lecture de la construction des temples de pierre. A l'aide de ce tracé directeur, le Maitre d'œuvre concevait le temple, les outils étaient la règle et le cordeau. Le constructeur du Temple était le lien entre l'homme et Dieu.
L'enseignement initiatique des compagnons trouve sa base sur cette symbolique et ce tracé.
Les templiers
La naissance des Ordres monastiques aux alentours du 4ème siècle, fut le point de départ d'une organisation spirituelle et matérielle regroupant différentes corporations de métiers d'artistes amorçant ce qui sera par la suite le Compagnonnage.
Les monastères sont organisés comme suit:
- Les moines religieux qui ont prononcé leurs vœux selon les règles de l'ordre.
- Les frères servants ou convers, religieux non moines qui assuraient les travaux pratiques.
- Les Laïcs, ni moines ni frères qui séjournaient dans les monastères comme artistes travaillants sous leur protection.
Après l'an 1000, les moines développèrent sous l'influence de St Bernard (Fondateur de l'abbaye de Cîteaux) des études en architecture et géométrie et un nouvel ordre fut fondé nommé le "Saint Devoir de Dieu" qui comprenait des charpentiers, des carriers et des tailleurs de pierre.
A la deuxième croisade lancée par saint Bernard, parmi les chevaliers et les moines se trouvaient des ouvriers du " Saint Devoir de Dieu" enrôlés au rang d'écuyers. On les appela dans un premier temps les "Dévoirants" puis devint plus tardivement "Compagnons du Devoir".
Les Templiers, moines soldats ayant adopté la règle de Saint augustin imposèrent à ces compagnons une règle comprenant des engagements et une soumission aux enseignements des évangiles. Cette règle pour ces bâtisseurs perdurera au fil des siècles.
Après l'échec de la deuxième croisade en 1148, des charpentiers et tailleurs de pierre furent autorisés à rester dans les commanderies installées au Moyen-Orient. Ceci leur permit d'échanger leurs connaissances avec l'architecture d'Orient.
Le temps des cathédrales
A l'époque des cathédrales, nous sommes à l'apogée de l'art des bâtisseurs. Les églises passent de l'architecture romane à l'architecture gothique.
Le roman est une architecture massive, les murs sont épais et les ouvertures sont petites pour ne pas compromettre la stabilité de l'édifice.
Les arcs sont en plein cintre et ne peuvent franchir de grandes longueurs du au fait des forces horizontales importantes qui ont tendance à pousser les murs vers l'extérieur.
Les poussées horizontales les plus fortes sont exercées par les voussoirs sur l'arc proches de la clef de voute (dernière pierre posée sur l'arc et fermant l'arc).
Si l'on veut alléger les sollicitations exercées sur l'arc et franchir alors de plus grands espaces, il faut supprimer les voussoirs supérieurs de l'arc plein-cintre.
L'arc ainsi obtenu s'appelle arc brisé ou arc en forme d'ogive: le Gothique est né.
Par ce fait, les églises gothiques deviennent plus grandes sur le plan et plus hautes. Elles sont plus lumineuses car les baies sont plus larges.
La technique chez les charpentiers a changé. Ils construisent de vastes échafaudages représentant une coque renversée servant de support pour les voussins du futur arc.
Pour les supports verticaux, des échafaudages sont posés sur des sacs de sable et lorsque les pierres de la voûte étaient en place, on perçait les sacs de façon à abaisser progressivement l'échafaudage en bois et permettre le tassement progressif des appareillages de pierre.
La construction des cathédrales gothiques en France s'étend de 1160 vers 1314. Près de 1600 monuments religieux furent bâtis durant cette période.
A cette époque, les Compagnons avaient acquis les connaissances de géométrie pratique (dit le "trait") grâce aux Cisterciens et avaient accédé à la symbolique par les templiers.
Dès lors le compagnonnage prenait figure de société secrète.
En 1314 avec le procès des templiers, sous le règne de Philippe le Bel, le compagnonnage fut bouleversé. Les compagnons perdaient les privilèges de la franchise octroyés par Philippe Auguste et St Louis. Les ouvriers abandonnèrent les chantiers et de nombreux compagnons s'expatrièrent vers les autres pays de l'Europe. Ce fut la fin de l'épopée des cathédrales.
A l'époque des cathédrales, nous sommes à l'apogée de l'art des bâtisseurs. Les églises passent de l'architecture romane à l'architecture gothique.
Le roman est une architecture massive, les murs sont épais et les ouvertures sont petites pour ne pas compromettre la stabilité de l'édifice.
Les arcs sont en plein cintre et ne peuvent franchir de grandes longueurs du au fait des forces horizontales importantes qui ont tendance à pousser les murs vers l'extérieur.
Les poussées horizontales les plus fortes sont exercées par les voussoirs sur l'arc proches de la clef de voute (dernière pierre posée sur l'arc et fermant l'arc).
Si l'on veut alléger les sollicitations exercées sur l'arc et franchir alors de plus grands espaces, il faut supprimer les voussoirs supérieurs de l'arc plein-cintre.
L'arc ainsi obtenu s'appelle arc brisé ou arc en forme d'ogive: le Gothique est né.
Par ce fait, les églises gothiques deviennent plus grandes sur le plan et plus hautes. Elles sont plus lumineuses car les baies sont plus larges.
La technique chez les charpentiers a changé. Ils construisent de vastes échafaudages représentant une coque renversée servant de support pour les voussins du futur arc.
Pour les supports verticaux, des échafaudages sont posés sur des sacs de sable et lorsque les pierres de la voûte étaient en place, on perçait les sacs de façon à abaisser progressivement l'échafaudage en bois et permettre le tassement progressif des appareillages de pierre.
La construction des cathédrales gothiques en France s'étend de 1160 vers 1314. Près de 1600 monuments religieux furent bâtis durant cette période.
A cette époque, les Compagnons avaient acquis les connaissances de géométrie pratique (dit le "trait") grâce aux Cisterciens et avaient accédé à la symbolique par les templiers.
Dès lors le compagnonnage prenait figure de société secrète.
En 1314 avec le procès des templiers, sous le règne de Philippe le Bel, le compagnonnage fut bouleversé. Les compagnons perdaient les privilèges de la franchise octroyés par Philippe Auguste et St Louis. Les ouvriers abandonnèrent les chantiers et de nombreux compagnons s'expatrièrent vers les autres pays de l'Europe. Ce fut la fin de l'épopée des cathédrales.
Du 14ème siècle à aujourd'hui
Dans les siècles qui suivirent, le compagnonnage dut à nouveau subir des persécutions durant les guerres de religion. Dans ses rangs de nombreux compagnons étaient protestants et durent rentrer dans la clandestinité et provoquèrent un scission suite à la révocation de l'Édit de Nantes.se regroupant dans un autre "Devoir".
Au 18ème siècle, le compagnonnage est à son apogée et devient une organisation puissante qui organise des grèves et contrôle les embauches dans lcertaines villes mais dans son cœur la division est profonde et provoquent des rixes souvent mortelles entre compagnons rivaux.
La Révolution en 1791 met fin au système des corporations (rivales du compagnonnage) par le décret d'Allarde et le 16 floréal 1804, les compagnons du Devoir se réunissent clandestinement pour réfléchir sur leur avenir.
En 1804, les compagnons protestants ne se reconnaissent pas dans le "Saint Devoir de Dieu" et fondent le" Devoir de Liberté"
Malgré les luttent internes entre les deux obédiences, leur influence reste toujours importante dans la première moitié du 19ème siècle. Les historiens estiment à 200000 le nombre de compagnons.
La seconde moitié du 19ème, voit arriver l'ère industrielle et les machines industrielles mettant à mal le compagnonnage qui sent son déclin venir de plus en plus. Viennent s'ajouter à partir de 1884, les syndicats qui deviennent très puissants dans toute l'Europe et voient d'un très mauvais œil les pratiques ancestrales et "désuètes" du compagnonnage.
La restauration des monuments historiques à la fin du 19ème siècle, sous l'initiative de Viollet-le-Duc redonna une heure de gloire au compagnonnage comme les "Charpentiers du Devoir de Liberté" et les Tailleurs de Pierre du Devoir, enfants de Maitre Jacques".
Mais le compagnonnage est touché dans ses bases professionnelles par l'évolution des techniques bouleversant des règles de travail et des procédés immémoriaux. Certains se sont découragés et se sont repliés sur eux-mêmes dépassés par les événements. Par peur de perdre cet héritage précieux pour très longtemps, avant la seconde guerre mondiale, des réunions ont eu lieu entre compagnons travaillant d'arrache-pied pour remettre à l'honneur cette institution au service des hommes.
Pour cela une refonte profonde de leur institution eut lieu à laquelle furent conviés tous les regroupements épars des compagnons quels qu'ils soient.
Le Compagnonnage du Devoir, le plus ancien le plus vigoureux mais aussi celui qui comprenait le plus de métiers différents donna naissance en 1941 à une association loi 1901, déclarée d'Utilité Publique:
"L'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France"
Aujourd'hui l'association comprend environ 8000 jeunes dont 2/3 d'apprentis et représente 21 métiers différents dans la métallurgie (métallier - constructeur-carrossier - chaudronnier - mécanicien constructeur - mécanicien de précision) , la construction (charpentier - couvreur - maçon - plombier-chauffagiste, tailleur de pierre), l'agencement et la décoration (ébéniste - menuisier - plâtrier - plaquiste-staffeur - peintre - électricien - tapissier), l'alimentation (boulanger - pâtissier), du cuir et du textile (cordonnier-bottier - maroquinier - sellier).
Dans les siècles qui suivirent, le compagnonnage dut à nouveau subir des persécutions durant les guerres de religion. Dans ses rangs de nombreux compagnons étaient protestants et durent rentrer dans la clandestinité et provoquèrent un scission suite à la révocation de l'Édit de Nantes.se regroupant dans un autre "Devoir".
Au 18ème siècle, le compagnonnage est à son apogée et devient une organisation puissante qui organise des grèves et contrôle les embauches dans lcertaines villes mais dans son cœur la division est profonde et provoquent des rixes souvent mortelles entre compagnons rivaux.
La Révolution en 1791 met fin au système des corporations (rivales du compagnonnage) par le décret d'Allarde et le 16 floréal 1804, les compagnons du Devoir se réunissent clandestinement pour réfléchir sur leur avenir.
En 1804, les compagnons protestants ne se reconnaissent pas dans le "Saint Devoir de Dieu" et fondent le" Devoir de Liberté"
Malgré les luttent internes entre les deux obédiences, leur influence reste toujours importante dans la première moitié du 19ème siècle. Les historiens estiment à 200000 le nombre de compagnons.
La seconde moitié du 19ème, voit arriver l'ère industrielle et les machines industrielles mettant à mal le compagnonnage qui sent son déclin venir de plus en plus. Viennent s'ajouter à partir de 1884, les syndicats qui deviennent très puissants dans toute l'Europe et voient d'un très mauvais œil les pratiques ancestrales et "désuètes" du compagnonnage.
La restauration des monuments historiques à la fin du 19ème siècle, sous l'initiative de Viollet-le-Duc redonna une heure de gloire au compagnonnage comme les "Charpentiers du Devoir de Liberté" et les Tailleurs de Pierre du Devoir, enfants de Maitre Jacques".
Mais le compagnonnage est touché dans ses bases professionnelles par l'évolution des techniques bouleversant des règles de travail et des procédés immémoriaux. Certains se sont découragés et se sont repliés sur eux-mêmes dépassés par les événements. Par peur de perdre cet héritage précieux pour très longtemps, avant la seconde guerre mondiale, des réunions ont eu lieu entre compagnons travaillant d'arrache-pied pour remettre à l'honneur cette institution au service des hommes.
Pour cela une refonte profonde de leur institution eut lieu à laquelle furent conviés tous les regroupements épars des compagnons quels qu'ils soient.
Le Compagnonnage du Devoir, le plus ancien le plus vigoureux mais aussi celui qui comprenait le plus de métiers différents donna naissance en 1941 à une association loi 1901, déclarée d'Utilité Publique:
"L'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France"
Aujourd'hui l'association comprend environ 8000 jeunes dont 2/3 d'apprentis et représente 21 métiers différents dans la métallurgie (métallier - constructeur-carrossier - chaudronnier - mécanicien constructeur - mécanicien de précision) , la construction (charpentier - couvreur - maçon - plombier-chauffagiste, tailleur de pierre), l'agencement et la décoration (ébéniste - menuisier - plâtrier - plaquiste-staffeur - peintre - électricien - tapissier), l'alimentation (boulanger - pâtissier), du cuir et du textile (cordonnier-bottier - maroquinier - sellier).
Associations compagnonniques à l'issue de la révolution:
Rite du Père Soubise
(on y trouve les continuateurs des tailleurs de pierre du Saint-Devoir de Dieu et des Honnêtes Compagnons)
-Les Charpentiers du Devoir Bons-Drilles du Tour de France
-Les Couvreurs du Devoir Bons-Drilles du Tour de France
-Les Plâtriers, stucateurs Bons-Drilles du Tour de France
Rite de Salomon
-Les Tailleurs de Pierre, dits Compagnons étrangers
-Les Menuisiers du Devoir de Liberté, dits Gavots
-Les serruriers du Devoir de Liberté, dits Gavots
-Les Tonneliers-Foudriers du Devoir de Liberté
-Les Charpentiers du Devoir de Liberté, dits Indiens.
Rite de Maître-Jacques
Il regroupe les Compagnons du Devoir
-Les Tailleurs de pierre du Devoir
-Les Serruriers du Devoir
-Les Tanneurs du Devoir
-Les Cordiers, les Vanniers, les Chapeliers etc... du Devoir
Associations compagnonniques aujourd'hui:
-Association ouvrière des compagnons du devoir
-Union compagnonnique
-Fédération compagnonnique des métiers du Bâtiment
-Société des compagnons selliers tapissiers maroquiniers cordonniers-bottiers du devoir du tour de France - Famille du cuir
-Association des Compagnons Passants Tailleurs De Pierre
-Ère Nouvelle des Compagnons et Aspirants Égalitaires (compagnonnage mixte)
Rite du Père Soubise
(on y trouve les continuateurs des tailleurs de pierre du Saint-Devoir de Dieu et des Honnêtes Compagnons)
-Les Charpentiers du Devoir Bons-Drilles du Tour de France
-Les Couvreurs du Devoir Bons-Drilles du Tour de France
-Les Plâtriers, stucateurs Bons-Drilles du Tour de France
Rite de Salomon
-Les Tailleurs de Pierre, dits Compagnons étrangers
-Les Menuisiers du Devoir de Liberté, dits Gavots
-Les serruriers du Devoir de Liberté, dits Gavots
-Les Tonneliers-Foudriers du Devoir de Liberté
-Les Charpentiers du Devoir de Liberté, dits Indiens.
Rite de Maître-Jacques
Il regroupe les Compagnons du Devoir
-Les Tailleurs de pierre du Devoir
-Les Serruriers du Devoir
-Les Tanneurs du Devoir
-Les Cordiers, les Vanniers, les Chapeliers etc... du Devoir
Associations compagnonniques aujourd'hui:
-Association ouvrière des compagnons du devoir
-Union compagnonnique
-Fédération compagnonnique des métiers du Bâtiment
-Société des compagnons selliers tapissiers maroquiniers cordonniers-bottiers du devoir du tour de France - Famille du cuir
-Association des Compagnons Passants Tailleurs De Pierre
-Ère Nouvelle des Compagnons et Aspirants Égalitaires (compagnonnage mixte)